M. Leo COLLIARD

Structure(s) de rattachement :
EUR Sciences Fondamentales et Ingénierie

Cv

Parcours pré-doctorat

  • Cycle préparatoire intégrée du réseau d’école Polytech - Annecy-Chambéry
  • Cycle préparatoire universitaire généraliste avec une légère spécialisation en génie mécanique.
  • Licence de physique-chimie, mention physique – Université Savoie Mont-Blanc
  • Master de physique, parcours Physique atomique et moléculaire matière condensée optique (PAMMCO) – Université Claude Bernard, Lyon 1
  • Master de physique généraliste avec une spécialisation en M2 articulée autour de l’interaction lumière-matière.

Intitulé du projet de recherche

Structuration de fibres optiques par laser pour des applications en photonique topologique / Direct laser writing in optical fibers for topological photonics applications

Témoignage 

Pour ma part, j’ai décidé d’effectuer un doctorat quand j’étais en master. La physique fondamentale était le domaine dans lequel je m’épanouissais le plus intellectuellement. Aller creuser et comprendre les choses en profondeur plutôt que de le traiter en surface était une démarche qui me correspondait. Si j’ai choisi ce sujet à l’Université Côte d’Azur, c’est avant tout pour le projet de recherche correspondant. Il s’agit d’une discipline passionnante sur le plan académique et scientifique, en plus de parfaitement correspondre à ce que je voulais faire sur les aspects fondamentaux et techniques, quand je cherchais un sujet de thèse, qui se situe à l’interface entre la physique fondamentale et la conception de systèmes technologiques. En outre, ce projet de recherche se faisait en collaboration internationale à travers une cotutelle entre deux universités : l’Université Côte d’Azur et l’Université Laval à Québec-city, au Canada. Moi qui rêvais de découvrir le Québec, surtout l’hiver québécois, c’était là l’occasion rêvée de concilier deux objectifs.
Ce cursus permet donc d’avoir accès au monde de la recherche expérimentale dans deux écosystèmes différents, à savoir plutôt académique en France et plus plutôt technologique en Amérique du Nord, ce qui est plus qu’enrichissant. Notamment pour ma poursuite de carrière que j’envisage en R&D industrielle.